Accueil > Financement > Finance alternative > Crowdfunding et cagnottes en ligne : portrait des 188 plateformes françaises Crowdfunding et cagnottes en ligne : portrait des 188 plateformes françaises Près de 300 plateformes de crowdfunding et cagnottes en ligne ont vu le jour en France ces dernières années. Leur analyse par mind Fintech montre la grande diversité de leurs statuts, de leurs positionnements et des instruments proposés à leurs utilisateurs. Par Aymeric Marolleau. Publié le 27 mars 2019 à 16h02 - Mis à jour le 10 mars 2021 à 16h32 Ressources La finance alternative (financement participatif, prêt à la consommation en ligne, cagnottes, etc.) a permis de collecter un total de 1,4 milliard d’euros sur l’année 2018, soit 39 % de plus que l’année précédente, selon le Baromètre du crowdfunding en France réalisé par Financement Participatif France et KPMG (lire sur notre site).mind Fintech a souhaité avoir une meilleure compréhension du paysage du crowdfunding en France : quels instruments proposés ? Quelles spécialités ? Quelles cibles des financements ? Quelle répartition des plateformes sur le territoire ? Pour cela, nous avons recensé les plateformes enregistrées comme Intermédiaire en financement participatif (IFP) et Conseiller en investissement participatif (CIP) depuis 2014 auprès de l’Orias, l’association chargée de délivrer leur “permis de travail”, sous la tutelle de la Direction du Trésor, ainsi que les deux Prestataires de services d’investissement (PSI), agréés par l’ACPR. Le 8 mars 2019, 188 plateformes de crowdfunding étaient enregistrées auprès de l’Orias. 18 l’étaient à la fois comme IFP et comme CIP, 131 comme IFP seulement, et 37 comme CIP seulement. Deux l’étaient comme PSI (pour le détail plateforme par plateforme, consultez notre base de données en cliquant ici). S’il y a près de trois fois plus d’IFP en France que de CIP, c’est parce que les obligations liées au second statut sont plus lourdes. Les CIP conseillent leurs utilisateurs dans la souscription de titres financiers (actions, obligations, minibons et titres participatifs), tandis que les IFP proposent de contribuer à des projets sous la forme de prêts ou de dons (voir encadré).… Cet article est reservé aux abonnés Déja abonné ? Connectez-vous Vous n’êtes pas encore inscrit ?Créez un compte pour tester notre offre gratuitement pendant 15 joursServices en ligne : études, analyses, bases de données et bien plus encoreBriefings quotidiens : actualités synthétiséesLettres hebdomadaires Nom Prénom Email Aymeric Marolleaucrowdfundingcrowdfunding immobiliercrowdlendingBesoin d’informations complémentaires ?Contactez le service d’études à la demande de mind Nom Prénom Nom Entreprise*Téléphone mobileE-mail* Demande* À lire Crowdequity : des freins fiscaux et un marché en consolidation Comment Anaxago veut se réorienter sur le terrain de la banque privée La liste des plateformes de crowdfunding et cagnottes en ligne françaises enregistrées comme CIP, IFP et PSI essentiels Crédit : la grande transformationLe cyber, un risque difficile à assurerUne monnaie numérique de banque centrale, pour quoi faire ?La transformation du paiement pour les commerçantsanalyses Applications mobiles : avec quels prestataires les banques travaillent-elles pour le KYC, l’authentification ou encore les notifications ?Comment IMA encourage ses collaborateurs à lutter contre la sédentarité grâce à une applicationComment le Crédit Agricole démocratise l’usage des données pour ses managersComment papernest optimise la gestion des abonnements grâce à l’open bankingdata La liste des PSAN enregistrés auprès de l'AMFLes offres des acteurs de la banque numériqueComment évolue le financement des fintech en France ?Cartographie de la fintech